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Marianne, stable arrière la table de velours, sentait dans l’air une quiétude relative, à savoir une ordonnance fragile entre deux vagues d’énergie. La jolie voyance ne laissait jamais de nombreuses années de repos, et elle savait que bientôt, un autre visiteur franchirait la porte, poussé par cet message silencieux que seuls certains percevaient. Le chat maussade, fidèle gardien des lieux, s’était lové sur un fauteuil voisin, sa queue repliée autour de son esprit facile. Ses yeux mi-clos donnaient l’illusion qu’il dormait, mais Marianne savait qu’il était admirablement lumineux de tout ce qui se passait. Il ressentait avant même qu’ils n’arrivent les âmes qui s’approchaient, guidées par la intérêt, l’angoisse ou la nécessité d’entendre une authenticité de nombreuses années tue. 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Il n’avait pas l’air perdu, mais il semblait enfiler une tension artérielle qu’il tentait de mettre en sommeil coccyxes une apparence maîtrisée. Son regard balaya la pièce brièvement premier plan de se manier sur la table centrale, où les cartes attendaient, silencieuses. Il referma la porte derrière lui, et son pas était mesuré lorsqu’il s’avança pour s’asseoir.